Une bonne partie de cette carnetosphère française est habitée par une faune rouge-brune-verte composée de nazillons et autres bobos-Eichmann en herbe qui pérorent sans cesse au sujet de la respectabilité des uns et le caractère fréquentable des autres. Leurs jacasseries et leurs piailleries ne font plus qu'un bourdonnement en bruitage de fond avant de tomber, de façon très appropriée, à côté de la plaque qui leur sert de couvercle d'égout à travers lequel coulent les suintements diarrhéiques de leur banqueroute intellectuelle.